C’est une bonne idée ! ça enlève tout « hack » système.
Je pense que ça peut marcher, le seul cas où ça marcherait pas c’est le cas où quelqu’un lance 2 instances Gladys en parallèle (parce que bon je pense pas que d’autre projets auraient une image Docker avec le nom « gladys »)
ouai je viens de tester c’est exactement ce qu’on veut ,le full id.
On test l’existence du fichier et s’il n’existe pas, ancienne méthode.
Comme ça on rajoute pas d’argument permissif pour les nouveaux déploiments et le legacy fonctionne toujours.
Le test a été effectué sur un Raspberry Pi 400 avec 4Go de RAM, donc oui dans ce cas là ça fait un vrai boost car un système 32 bits gère environ 3.5 GB de RAM max, et le passage au 64 bits permet à un seul process de prendre toute la RAM au besoin
Sur n’importe quel autre Pi, le gain ne sera pas aussi fort, et il peut même être négatif sur certain modèle.
Mais je suis d’accord sur le fait qu’avoir une image 64 bits sera utile, à partir du Pi 4 d’après les benchmark il y a un vrai intérêt
( Et j’ai cru voir des leaks d’un Raspberry Pi 4 + qui aurait jusqu’à 16Go de RAM… Là ce sera clairement nécessaire )
Là où ça m’intéresse, c’est que théoriquement un système 64 bits peut avoir des performances améliorées sur les opérations genre chiffrement/compression.
Dans Gladys, ça peut avoir un vrai impact sur toute la partie Gladys Plus :
Le chiffrement de bout en bout théoriquement plus rapide?
La sauvegarde quotidienne (compression gzip + openssl pour le chiffrement)
Si besoin de test, j’ai un RPi 4 4Go et SSD Gladys est dessus mais c’est aussi mon Media Center (Kodi) d’où mon intérêt pour des performances améliorées